Coins des poèmes
Onde d’amour,
Baignée par la passion mon âme s’envole
De la racine de mon corps elle prend son envol
Elle te cherche, te trouve et te parcourt
Est ce que tu la ressens mon amour ?
Une lumière me revient de toi
Elle transperce mon cœur qui, si fort bat
Je la sens traverser les courbes de mon corps
Elle déverse en moi sa force qui me dévore.
Parfois son intensité me paraît diminuer
Je m’adresse à toi pour me rassurer
Tu as toujours l’élément régénérateur
Celui qui me remplie de bonheur.
Un sourire de toi me fait vibrer
Un regard suffit pour m’envoler
Un caresse pour m’extasier
Un baiser m’a faite t’aimer...
Ni foi, ni loi, ni question
Sa raison est la passion
Sa vertu est le désir
A tort il fait souffrir.
D'âmes seules il se nourrit
Les cœurs vides il épanouit
Griffant les blessures antérieures
Il y met de sa chaleur.
Puisant au fond de sa lumière
Eternelle, luisante et chère
Sa force il met en nous
Sa délectation nous rend fous.
Il a traversé les étapes du temps
Franchit le mal et ses tourments
A éclore sans conditions.
Il m’a attrapée dans ses filets
Me berce dans ses sourires
De la douleur m’a détournée
De lui je veux mourir..
Je suis Reine et je te veux pour Roi
Quelle est donc cette émotion qui me transperce ?
Qui par son intensité déjà me berce
Je ne la connais pas je ne l’ai jamais vue
Elle que j’ai tant attendue.
Elle palpote au son de ta voix
Dévoilant sa magie en moi
Elle réagit au son du bonheur
Qu’elle déverse au fond de mon cœur
Délectes t’en avec moi
Acceptes d’être aussi son toit
Laisses la nous mener sur les sentiers lointains
Ceux où à jamais nous ne ferons qu’UN…
D’amour en déchirures
Je n’ai vécue que déceptions.
Enfin un espoir qui me fait renaître
Le désir est mon seul maître
Il m’apporte confiance en l’avenir
Car du beau je veux construire.
Laisse toi aller à cette histoire
A laquelle je n’osais croire
Je bénis le jour de ta présence
Je maudis celui de ton absence.
Apprends moi à vivre le présent
Donnons de l’amour et du temps
De réunir nos deux destins au grand jour
Et vivre pleinement notre amour
Comme une fleur à la nuit tombée
Ma force s’en est allée
De peine mes lèvres se sont fermées
De tous mot je suis blessée
Une larme de souffrance
Me parcourt le corps en silence
Brûlant le bonheur jadis installé
Semant le terreur dans mes pensées.
Depuis tant je suis là à attendre
Que dans ton silence tu veuilles bien me prendre
Je ne suis plus moi je ne suis que cendres
Le feu à la souffrance m’a faite descendre…
J’attends désespérément de toi un signe
Que moi seule ton regard désigne
Comme la lumière qui y jaillit
Souris moi à l’infini.
Comment te faire comprendre ?
Que mon esprit est en perdition
Je ne veux te voir descendre
De mon cœur tu es patron.
Effaces les je t’en supplie
De faire l’effort je t’en conjure
Apaise en moi cette torture….
Une larme coule sur mon visage
Son écume sur moi se propage
Je ne sais plus répondre aux mots
J’avance sans lumière dans ce couloir
Décoré de tout mon désespoir
J’essaye en vain d’en trouver l’issue
De ne pas la voir je suis déçue.
Réussirai-je à forcer sa porte ?
L’ouvrir me rendra-t-il plus forte ?
Je veux l’ouvrir à condition
Ce sourire qui me rend jolie
C’est par toi je l’ai acquis
Il élance les traits de mon visage
Ouvre dans mon cœur une nouvelle page.
Tu trouves les mots pour me séduire
Ta beauté me fait rougir
Ton parfum est un délice
Tes yeux plein de malice.
Tu es la lumière qui me guide mes pas
Tu es le soleil lorsque j’ai froid
Tout mon esprit tu as envahi
Tu n’es né que pour ma vie…
Confiance suprême
A toi je me confie
Corps et âme, cœur et vie
Pensée d’amour et joies meurtries
Je te donne tout à l’infini
Apprenons à nous connaître
De nous du beau doit naître
Fermons la porte du passé
Se blesser nous le devons jamais
Soyons complices de nos désirs
De nos peines et de nos délires
De nos ultimes chagrins d’amour
Créons à deux un nouveau jour.
A toi de le guider si loin
Là où jamais la confiance ne s’arrête
Où seul le bonheur nous guette…
1+1=3
Les jours passés ne sont plus rien
Le temps à venir nous appartient
Bébé d’amour avons fait naître
De notre amour il est le maître
Couronne suprême de notre vie
L’addition de nos deux corps
A créé cette amour infini
Que nous partagerons jusqu’à la mort
Désirs fougueux qui nous animent
Sur nos regards qui se dessinent
Dans tes bras je ne suis plus moi
Je le lis dans tes sourires
Je le sens dans nos ébats
Je le découvre dans ton désir
Dans ton âme il n’y a que moi
Au nom de ces instants éternels et parfaits
Qui font de nous amants passionnés
Je veux de tout mon corps crier
Que je t’aimais, je t’aime et que je t’aimerai…
Ce sourire qui me rend jolie
C’est par toi je l’ai acquis
Il élance les traits de mon visage
Ouvre dans mon cœur une nouvelle page.
Tu trouves les mots pour me séduire
Ta beauté me fait rougir
Ton parfum est un délice
Tes yeux plein de malice.
Tu es la lumière qui me guide mes pas
Tu es le soleil lorsque j’ai froid
Tout mon esprit tu as envahi
Tu n’es né que pour ma vie…
Je tombe…
Je vois mon courage qui tombe
Dans l’abîme la plus profonde
Enseveli sous les décombres
Lieu maudit qui n’est que d’ombre
Relâchée de tout espoir
Rien ne va plus au fond de moi
Survivre je ne le sais pas
Que faire pour m’en sortir ?
Je pense parfois au pire
Seule la solitude me soutient
Je m’attache à cet uni que lien
Paresse qui me recouvre
Détresse que je découvre
Oh !Affection qui me manque tant
Je me meurs tout doucement…
Que de distance que je supporte !
Tant d’espoir que je mets en nous
Je t’imagine devant une porte
Me regardant de tes yeux fous
Me balader sur des sentiers
Entendre le fruit de tes pensées
Voir un sourire sur ton visage
Sera le plus beau des paysages
Au ventre naît en moi une rage
De te voir, de te posséder
Pour toi je me damnerai...
Mes passions s’enorgueillirent
Des je t’aime à bouts de mots
Je ne pensais pas oh! souffrir
Mes larmes coulent à flots
Je décède et je m’engouffre
Je renais mais toujours je souffre
Et des espoirs que je créais.
Avide d’aventures je me laissais
Au gré du temps je subissais
Les passions aux rêves foudroyants
Je ne rêve plus car je me mens
Histoire d ‘amour banales
Passionnées, sentimentales
Je ne veux plus me faire toucher
Le manque d’amour je l’ai comblé
La tendresse m’a emportée
Vole dans mes pensée un papillon de nuit
Dont la beauté dans mes yeux luit
Destinée à toi à pour toujours
Je compte sur mes lèvres les jours
Qui séparent nos deux êtres de tendresse
De ton cœur je serai déesse
Je t’apprendrai tout le plaisir
Tu sentiras tout mon désir
De te charmer et de te plaire
Tu m’embrasseras et tout sera clair…
A jamais mon cœur est fermé…